Réouverture

Une glace à la pistache dans la main gauche, les clefs avec un porte clef en forme de cochon dans la main droite, et des documents sous le coude, Nazélie essayait tant bien que mal d’ouvrir la porte du refuge. Celles ci finirent par lui échapper des mains pour tomber à ses pieds.

- Mince !

Se penchant, la glace toujours dans une main, les documents tenant tant bien que mal sous son coude, elle ramassa les clefs et souffla sur quelques mèches qui lui collaient au visage. Lorsque la clef voulut bien entrée dans la serrure, elle sourit et poussa la porte d’un vert pale et la referma à l’aide de son pied, juste derrière elle.

Etant accueillit par plusieurs jappements, elle ne put s’empêcher de sourire et alla ouvrire les voilages beiges. Déposant alors ses clefs sur le comptoir, elle porta enfin sa glace à sa bouche, elle déposa les documents sur le comptoire et se pencha vers un caisse pour en sortir un énorme sac de nourriture. Bien qu’elle ouvrait relativement tôt, ses quadrupèdes réclamaient toujours autant à manger.

Les surnommant les ‘intestin sur patte’, elle passa une bonne partie de sa matinée à les nourrires avant de se laisser enfin tomber sur son fauteuil, les doigts collants de glace. Faisant la moue, elle alla se laver les amain alors que son lapin nain, blanc, mangeait une de ses ordonnances, faite pour la pharmacie, pour les soins des animaux. Lui caressant alors ses longues oreilles, elle soupira et regarda pendant un instant la salle.

Devant la vitrine se trouvait tout ses petits chiots, alors que les chats se trouvaient au centre de la pièce … Elle finit par se redresser et ouvrit légèrement la fenêtre de son bureau. Même si on se trouvait à la fin du printemps, l’air était lourd, enfin … Surtout pour elle. Puis attrapant le lapin, elle alla le poser dans une large cage avant d’aller retourner la pancarte, indiquant que le magasin était ouvert.

Nazélie bailla, porta sa main à la bouche et regarda sa montre avant de se rendre dans l’arrière boutique pour aller préparer les soins nécessaires pour quelques animaux en manque de vitamines …

________
~ Libre ~

Lund entra dans le magasin. Ses ailes se déplièrent légèrement quand il eue passé la porte et une fois entré il se mit à parcourir l'immense pièce de son regard de sang.

* Sympathique *

En effet voila le mot, sympathique, ce n'était pas immense ni d'un luxe insoutenable mais cela avait tout de même un certain charme. Il entra un peu plus dans la pièce en faisant quelques pas il se mit à caresser un petit chiot qui l'avait regardé d'un air suppliant puis il entendit un bruit qui a ses oreille était insoutenable

Un miaulement de chat...

Il se retourna sur le coup, son volte-face effectué il dévisagea un petit chaton posé de l'autre coté du magasin.

Stupide bestiole tu m'as fait peur !

Une main sur le cœur, en effet se dernier c'était emballer, l'autre sur le coté comme prêt à frapper il avait été plus que surpris.

Ce drôle d'oiseau à la nombreuse conquête avait une phobie des chats qui était totalement paralysante vu le niveau. Car il ne pouvait plus faire un geste, il détestait ces félins imprévisible et qui vous surprennent toujours.

Si il avait travaillé dans la robotique c'est avant tout car au moins la bas on pouvait tout prévoir et on calculait tout. Mais calculer un être vivant et sa réaction ce n'était pas de la science mais plutôt c'était le talent d'un oracle, ou d'un prophète.

En réalité il était entré ici dans le seul but de voir un peu ce qu'était cette petite boutique, depuis le temps qu'il passait devant il ne l'avait jamais vraiment vue de l'intérieur ayant peur de se prendre un chat sur l'épaule.

Il était maintenant au centre de la pièce, il regardait autour de lui...

*Personne... A par les bête *

Il était toujours vêtu d'une chemise ouverte couleur sang et or avec un pantalon noir, ses yeux parcouraient la pièce minutieusement et il trouvait que c'était un lieu parfait pour un livre.

La chose a laquelle il ne s’attendait pas c’était de tomber sur une jeune fille, et même pour être tout a fait franc il ne s’attendait absolument pas a tomber sur une fille.

Il avait prévu que le magasin soit tenu par un petit vieux de 800 ans oreille pointue, ou dix fois moins pour un humain.

Quand il aperçu la jeune fille qui s’occupait du refuge il n’en cru pas ses yeux mais très vite retourna au monde réel…

? Se redressant, elle jeta un bref regard vers la porte de l’arrière boutique. Trop occupé à maintenir tranquillement le chaton qui gesticulait dans tout les sens, elle crut entendre quelqu’un parler.
Ce moment d’inattention lui valut une jolie griffure sur l’avant bras. Grimaçant elle détourna son regard de la porte et fit les gros yeux au chaton qui se débattait comme un beau diable. Nazélie finit par les relâcher et celui ci s’enfuit sous le bureau. Soupirant, elle se pencha et le ramena vers elle sous les miaulements accusateurs de la petite bêteet de la poser dans un large carton.

Une fois celle-ci coincée entre quatre murs de 'paiper' elle ouvrit une autre fenêtre cherchant alors un peu de fraîcheur dans l’arrière boutique. Elle s'était donc relever les cheveux à l’aide d’un crayon de papier rouge. C’était incroyable ce qu’elle avait chaud.
Se passant une main sur le front, elle enfila une paire de gant et attrapa une seringue ainsi qu’un flacon de sérum avant d’y prélever le liquide transparent. Secouant doucement sa seringue, elle soupira et attrapa le chaton noir.

Nazélie éteignit comme elle put la lumière à l’aide de son coude avant de rejoindre la boutique.

Poussant alors la porte, elle s’arrêta sur le palier. Sa bouche forma un ‘Oh’ silencieux et ses yeux s’écarquillèrent légèrement. Peut de personne venait ici, surtout à cette heure là, mais apparemment, aujourd’hui, c’était différent.
Magnifique créature ...
La seringue en l’air, elle décida de la poser sur le comptoir, avant de lancer un léger sourire un tantinet timide.

- Bonjour …

Déposant également le chat dans une caisse a part, elle retira ses gants et les jeta à la poubelle, elle aurait bien voulut aller lui serrer la main mais ses doigts étaient pleins de talque. Elle secoua distraitement la tête, dans le but de se dégager d’une mèche qui lui chatouillait la joue.

- Je peux vous aidez ?

Le regardant avec attention, elle se demandait bien ce qu’il voulait. Il finit par répondre à sa question et Nazélie resta un moment silencieuse. Il voulait un chien mais pas un chat ? Pourtant les chats demandaient beaucoup moins de contrainte qu’un chien. Lui souriant, elle détourna son regard du sien pour regarder les chiots.
Faisant la moue, elle réfléchissait sur le chiot qui le conviendrait le mieux. S’il ne s’y connaissait pas, il lui fallait un animal plutôt calme … Lorsqu’il fut question de son bras, elle baissa le regard vers celui ci et se mordit la lèvre inférieur.

- Hum …Oui. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est rien de bien méchant.

L’Haibane c’était rapproché d’elle pour jeter un bref coup d’œil dans la caisse, avant de reprendre la parole sur le type d’alimentation et de l’élevage de l’animal. Nazélie ne put s’empêcher de sourire et le fixa longuement.
Non, enfin de compte un chien serait plus facile pour lui. Croisant les bras sur sa poitrine, frôlant la griffure, qui la fit légèrement grimacer. Se détournant alors de l’Haibane, elle se dirigea vers le placard, là ou se trouvait le désinfectant.

- Vous vous posez trop de questions. C’est très simple. Un chiot ne demande que peut de chose.

Sortant une gaz stérile, elle y mit l’alcool dessus avant de tamponner son bras avec. Une fois cela finit, elle la mit à la poubelle, tout en continuant de ranger les quelques affaires qu’elle avait sortit pour elle.

- Vous le nourrissez deux fois par jours. En faite l'alimentation doit être adaptée aux besoins spécifiques de chaque chiot. Une alimentation saine et équilibrée assure au chiot une croissance harmonieuse et contribue à son bien-être, Enfin bien sur, ceci s’applique en fonction de sa race, de son poids, de l’âge et de son sexe.

Faisant un geste la main, elle rebouche l’antiseptique, lorsqu’un souffle caressa sa nuque puis son oreille. Sursautant lorsque l’Haibane lui parla, elle en lâcha la bouteille et se tourna enfin vers lui. Trouvant que la distance qui les séparait n’était pas suffisamment large, elle en rougit et détourna son regard.
A vrai dire, ce n’était pas le moment, pas l’époque ni la saison pour que quelqu’un se tienne aussi prêt d’elle. Un bouffé de chaleur l’envahit, ce qui la fit rougire un peu plus … Posant les mains sur le rebord du comptoir, elle redressa enfin le regard et lui fit un sourire timide.

- Heu … Je … Merci.

Se décalant enfin de lui, elle s’éloignant, mettant une certaine distance entre eux. Dégageant son visage de quelques mèches, là ou elle se trouvait, c’est à dire assez loin de lui, l’air était beaucoup plus respirable. Se mettant à fixer ces longues ailes si opposées l’une de l’autre, elle les trouva magnifique. Puis, faisant comme si de rien n’était, elle s’avança vers les caisses des chiots et se tourna vers lui.

- Est ce que ... Je veux dire, vous avez déjà fait un choix sur l’animal que vous voulez ?

Une fois qu'elle l'est remercier il répondit presque directement comme si cela était devenu un réflexe chez lui sur un ton doux et presque câlin ces mots qui chez lui faisait partie du vocabulaire courant et même naturel.

Mais De rien tout le plaisir est pour moi vous savez ?

L'haibane regardait la petite hybride s'enfuir de lui avec une habileté assez maladroite selon lui. Elle n'avait pas confiance en elle mais savait tout de même plutôt bien se contrôler. Elle s'était mise à longer le bar pou s'échapper de sa présence et était allé se cacher de l'autre coté du magasin il ne pu s'empêcher de sourire. Il adorait les filles timides même si en réalité il aimait toute la fille en réalité.

Il la regardait revenir vers lui avec un pas mesurée et presque apeuré. Elle retrouvait peut a peut une couleur qui s'écartait de la rouge pivoine qu'elle avait prise il y a quelque instant a peine. Elle lui demanda s'il avait fait un choix. Il sourit et s'approcha tout doucement d'elle en parlant d'une manière naturelle. Il avait compris qu'il ne pourrait pas l'avoir sur le tac au tac et qu'elle était très timide et que certaine chose ne doive pas être brusquée.

Ma foi je n'ai vue que des chats et des chiens pour l'heure... Pourquoi vous avez autre chose a me proposé ?

Sa question lui laissait imaginer une réponse très osée et très coquine mais il savait d'avance qu'elle ne lui répondrait pas le légendaire "tout ce que vous voulez" que répondait souvent les jeunes lycéennes avide de relation basé sur le physique plus que sur le sentiment mais ce drôle de jeux de charme avec la jeune femme lui plaisait assez pour être honnête et il se faisait tout un jeu et même un défi de devoir repartir avec son numéros de téléphone.

Il s’approcha encore d'elle doucement toujours et en douceur au final il posa sa main juste a coté de la sienne sur le bac d'un chiot. Tout ce jeux de charme lui plaisais t déjà mais il savait que les hybride était très facile a déstabilisé dans leur période de chaleur surtout les femelles qui pouvait démarrer au quart de tour. Mais il ne la voyait pas se jeter sur lui elle semblait d'un style beaucoup plus calme et poser. Alors d'une certaine façon il n'avait rien à craindre d'elle. Il regardait la jeune femme dans les yeux et lui trouvait tout un charme innocent.

Nazélie aurait préférée qu’il ne réponde rien sur le faite qu’elle l’est remercié, surtout pas sur le ton qu’il avait employé … Cela lui aurait évité un frisson lui parcourir l’échine au son grave de sa voix. Il sourit, ce qui la gêna. Au bout d’un bref moment, elle se ressaisit, le regardant s’approcher d’elle et l’écouta reprendre la parole.

Autre chose à lui proposez ?... Rougissant, lorsqu’elle prit conscience du sens de la phrase, elle le regarda longuement, avant de détourner les yeux des siens, ayant du mal à supporter ce regard carmin. Parcourant pendant un instant la pièce, elle finit par se mordre la lèvre inférieur avant de prendre la parole.

- Heu … Autre chose ? Comment ça ? Vous voulez autre chose qu’un chiot ?

Regardant sa main prêt de la sienne, elle redressa le regard vers lui et décida de l’enlever pour attraper un chiot et de le lui fourguer dans les bras, avant de lui sourire. Elle détestait cette période de l’année ! Elle se sentait vraiment misérable de ne pas pouvoir se contrôler.

- Je suis désolée mais ... dites moi si vous avez une autre idée ... d'animal, en tête.

Elle l’étudia encore pendant un instant puis s’appuya contre la caisse. Si elle se contrôlait, enfin elle essayait, c’était surtout pour ne pas finir dans un lit et de se réveiller le lendemain à coté d’une place froide et vide. Des réveilles comme cela, elle n’en voulait plus. Elle finit par caresser le chien crème qu’elle lui avait donner et redressa le regard vers lui. En faite, cet Haibane était pour le moins intriguant. Ces ailes, son regard …

- Vous êtes quelqu’un d’étrange … Heu, sinon si vous désirez vraiment adopter un chiot, j’aurais bien sur quelques papiers à vous faire remplire.

Se traitant de tout les noms pour lui avoir dit qu’il était quelqu’un d’étrange, elle s’écarta de la caisse et donna une caresse à l’animal, évitant soigneusement son regard.

Serpents ? Nazélie le regarda longuement. Il était sérieux ? Pourquoi pas une mygale aussi. Secouant doucement la tête. Les serpents n’étaient pas autorisés. Même pas les couleuvres, si ce n’est pour dire ! Et puis des rampants, elle n’en avait pas des centaines. Seulement quelques un et ils se trouvaient dans l’arrière boutique.

- Hum, je pense que cela ne va pas être possible, et encore moi un cobra ! En plus cette race vie dans les régions chaudes. En tout cas, toute morsure peut entraîner de graves conséquences pour sa victime. Et je n’ai pas envie qu’il vous arrive quelque chose, à cause de moi. Donc non.

Ce n’était pas possible. Si elle voulait posséder des serpents, non venimeux, il fallait qu’elle aille directement demander à la Tour. En plus, ces créatures étaient bien trop imprévisibles. Ses rampants s’arrêtaient à des tortues ou biens à des lézards. Ouais, elle s’avait en tout cas, que ceux là, elle allait les garder longtemps.

Alors qu’elle venait de lui dire qu’elle le trouvait étrange, il l’en remercia. Nazélie, ne répondit rien, mais resta tout de même incrédule par sa réaction … Quoi ? Elle n’était pas la seule lui avoir dit qu’il était étrange ? En tout cas, le mot étrange, enfin pour elle, avait remplacé le mot, 'spécial'.

Le jeune Haibane finit par re-déposer le chiot dans la caisse avec douceur. Alors qu’il le caressait, celle-ci se mit à pousser quelques grognements et lui mordit la main. Pas très inquiète, ce n’était pas la première fois, elle regarda encore un instant le chiot lorsque l’Haibane lâcha un léger ‘Aïe’.

- Quoi ?

Il pressa sa main et Nazélie se rapprocha de lui. Le chiot lui avait fait mal. Prenant délicatement sa main dans la sienne, elle la dégagea de celle du jeune homme et fronça doucement les sourcils. La plaie n’était pas bien profonde, mais les jeunes chiots avaient la fâcheuse tendance à posséder des canines extrêmement fines est aussi piquantes qu’une aiguille.
Appliquant sa propre main dessus, elle redressa le regard vers lui et lui adressa un tendre sourire, tout en plaquant légèrement ses oreilles sur sa tête

- Je suis désolé. Ca va aller ?

L’entraînant à sa suite, elle le fit asseoir sur un siège et posa la main sur le comptoir blanc avant de se tirer un siège pour quelle puisse également s’asseoir. Sortant quelques produits d’une armoire, elle déboucha un flacon d’alcool, n’ayant plus de biseptine. Jetant un regard à la plaie, elle eut une moue et lui sourit.
Si en plus ses bestioles commençaient à mordre la clientèle, elle pouvait fermer boutique tout de suite !

- Je suis vraiment désolé. C’est bien la première fois que cela arrive. Mais je vais soigner ça.

Lui adressant un sourire rassurant, elle prit une compresse qu’elle déplia en deux.

*Comment ça ca n’arrive pas souvent ? Bah c’était arriver et une fois de trop voila !*

Voila ce que pensait injustement Lund. Il était très propre sur sa personne un peu comme son demi frère sauf que lui ce n’était pas temps les vêtements c’était surtout son corps physiquement parlant.

Il ne voulait aucune imperfection tout devait être irréprochable.

Il faut dire qu’avec son nombre incalculable de conquête il devait forcément garder une forme excellente et surtout irréprochable. En parlant de conquête il n’arrivait pas a décollé ses yeux de celle qui allait être sa futur infirmière. Elle était charmante. Tout a fait charmante.

Elle l'accompagna doucement jusqu'au comptoir la elle le fit s'assoir et l'invita a garder la main sur la table il la vit aller chercher quelque produit dans une armoire et ne pu s'empêcher de regarder les sublime hanche et plus bas.

Elle était assez charmante il fallait le reconnaitre mais les Hybride avait ce tempérament a lui plaire. Surtout a cette saison de l'année ou il était très ... Sensible on va dire. Pour ne pas dire imprévisible.

Vous savez je vais pas en mourir pas la peine de vous fatigué à...

Elle se retourna et face a son regard il ne pouvait ajouter de mot dans le tréfonds de sa pensée une petite voix lui hurlait de se laisser faire comme un agneau. Après tout si elle le soignait comme elle soignait ses animaux il ne serait pas le plus a plaindre. Il sourit et décida de ne pas émettre la moindre objection a se faire soigner par une si charmante jeune femme.

Alors qu'il aperçu le flacon d'alcool tout de suite il fut un peu moins coopératif et décida d'oublié ou plutôt d'essayer de lui faire oublié la plaie.

Il était très sensible physiquement et ne tenait pas a se faire arracher la moitié d la peau avec de l'alcool il savait que c'était douloureux et avait garder un très mauvais souvenir d'une éraflure que sa mère lui avait soigner avec une raclé d’alcool il avait une très bonne mémoire surtout pour les mauvaise chose et aurait tout donner pour ne pas avoir a devoir a nouveau supporter cette douleur.

*Satané cabot tu n’aurait pas pu mordre quelqu’un d’autre !*

Il se tourna vers le petit chiot c’était un petit chiot de rien du tout, mignon comme tout et qui semblait ne pas pouvoir faire de mal a une mouche. Mais pourquoi vouloir une telle créature ? Il ne pourrait même pas la transporter tranquillement.

Quoi de mieu pour troublé un hybride en chaleur que de le complimenter ?

Il faut avoir une certaine patience et un certain tempérament doux pour travailler dans un tel cadre non ? Cela doit être ... Agréable ... non ?

Il la regardait et soudain une idée folle lui traversa l'esprit mais il se réservait ce plan B que en cas d'extrême urgence. Déjà un s'apprêtait à devoir encaisser la douleur de l'alcool dans quelque seconde.

J’ai entendu dire que la période de chaleur des Hybride était entrain de se dérouler, ce n’est pas trop… Angoissant de ne pas complètement répondre de ses gestes ?

Débouchant le tube de l’alcool, Nazélie en versa un peut sur la compresse et ne s’occupa qu'à nettoyer sa main, évitant soigneusement les petites plaies laissées par le chiot. Une fois cette tâche finit, elle les jeta et sortit une boite de coton et des pansements. Ne mettant qu’une pointe de produit dessus, elle attrapa sa main dans la sienne et la ramena vers elle.
Après un dernier sourire au jeune homme, elle tamponna avec douceur la peau blessée du jeune Haibane, là ou se trouvait quelques petites plaies avant de souffler pour y faire sécher le produit. Se détournant de lui pour prendre des petits les ciseaux argentés.

- Vous ai-je fais mal ?

Nazélie finit par trouvée ce qu’elle cherchait et se retourna enfin vers lui mais abandonnant enfin de compte ses ciseaux, n’ayant trouvée que des pansements avec des animaux dessus. Elle sans voulait de devoir lui mettre ça, mais c’est tout ce qu’elle avait ici. Les animaux ne possédaient pas de pansement, juste des bandages.
Alors qu’elle était occupée à retirer les bandes de protection du pansements, l’Haibane lui demanda si ce qu’elle faisait était agréable. Tournant le visage vers lui, elle lui adressa un large sourire.

- J’aime ce que je fais. J’aurais voulus m’occuper d’un hôpital, mais je n’ai pus aller jusque la. Alors oui. C’est agréable.

Ayant enfin finit avec son pansement, elle lui fit un léger sourire et lui montra le pansement. C’était, a vrai dire tout ce qu’elle avait sous la main. Ne protégeant jamais ses blessures que pouvait lui infliger ses animaux, stressés de recevoir une blessure. Baissant le regard vers sa main, elle s’apprêtait à le lui mettre lorsqu’il lui parla de la saison qu’elle détestait tant.
Rougissant, elle plaqua ses oreilles sur le sommet de son crâne et se redressa brusquement. Ses yeux d’ébènes s’encrèrent aux siennes et une brusque bouffée de chaleur l’envahit. Nazélie se passa une main dans le cou et oubliant le pansement, rangea la boite.

- Je … je ne trouve pas ça angoissant, mais humiliant. Humiliant de ne pas pouvoir contrôler ses envies, ses pulsions … On … on ne contrôle plus rien. Et puis, enfin de compte, vous finissez par vous retrouvez dans son lit, dans le lit d’un parfait inconnue, mais qu’importe car vous en avez envie. Puis le lendemain, vous vous sentez mieux, puisque votre instinct animal à était assouvie … Mais c’est tout … Sa s’arrête là ... Cela ne vous gênerait pas de vous comporter ainsi ?

Le fixant intensément, elle ne pouvait pas s’empêcher de garder un teint rouge et des frissons lui parcourent l’échine. Redressant légèrement les oreilles, elle se rapprocha légèrement de lui avant de reprendre la parole :

- Cela ne vous gênerez pas de coucher avec quelqu’un qui ne désire qu’une seule chose ? Assouvir son désir ?

Trouvant que cette proximité avait assez duré, elle se leva un peu brusquement et lui tourna le dos pour ouvrir un peu plus la fenêtre. Ah … Il fait trop chaud depuis que l’Haibane était pénétrée dans la pièce. Il la perturbait. Elle qui c’était promis de se tenir à l’écart des hommes pendant cette période, mais apparemment … Non.
Nazélie finit retirer le crayon qui lui servait de barrette pour retenir ses cheveux et le posa sur la table, tout en revenant vers lui. Attrapant les quelques produits qu’elle avait sortit, elle se pencha et les rangea avant de se rasseoir juste à coté de lui.

- Heu … Sinon, vous voulez un pansement ?

Changer de discussion lui faisait du bien. Cela lui permettait d’oublier pendant quelques instants ce qui la tiraillait depuis quelque temps. Néanmoins, ces joues gardaient toujours une jolie teinte rosé.

Voyant que la jeune femme devenait petit à petit rouge pivoine il ne pus s'empêcher de lui faire remarquer. Il se pencha un peu vers elle; comme s'il allait l'embrasser; et lui murmura.

Si je peux me permettre de vous le faire remarquer, Votre teint rosé parle plus que vos mots mademoiselle. Mais ma foi avoir une relation avec quelqu'un juste pour assouvir son désir est plutôt troublant je dois vous l'avouez mais rien n'empêche d'en rester à ce stade la et de forger quelque chose de plus dur après.

Sauf si bien sur vous êtes du genre a partir en courant le lendemain matin en découvrant que vous partager la couche d'un mâle ?

La il abordait un terrain vraiment et même carrément glissant. Il fallait absolument trouver un moyen de rattraper le truc car elle pouvait aussi bien lui sauter dessus que lui flanquer une superbe claque et avec les ongles il n'y a rien de plus douloureux il avait déjà une plaie et ne tenait pas en faire collection.

Laisser moi vous faire remarquer que vous faite une excellente infirmière vraiment. Vous en avez même le charme... C'est... Troublant pour vous être honnête. Ma foi un pansement ? Je ne serais pas contre car j'ai peur que cela se remette à saigner une fois en vol. Avec la pression de l'air vous comprenez.

En effet quand on volait souvent les plaies se rouvrait et se remettait à saigner et comme il ne voulait pas que cela arrive il préférait tout assurer et ne pas avoir de surprise après coup.

Il souleva un peu son bras, il avait repris sa distance avec elle. Il souriait de la voir réagir au quart de tour avec ses oreille ou le teint de son visage l'innocence de cette femme lui faisait frémir les sens a tel point que ses ailes se tendait doucement a défaut que ce soit autre chose qui ne le fasse en réponse.

Il faut dire qu'elle avait un corps qui ne faisait qu'accroitre l'instinct de reproducteur de l'haibane. mais il était tranquille avec Les Hybride il ne risquait rien.

Pas de maladie ni de descendant, a moins bien sur qu'il veuille avoir un bébé avec elle mais désolé bien qu'il a souvent pensé au mariage il n'avait toujours pas trouvé de compagne d'ou ses multiples conquête on ne pouvait pas dire qu'il ne cherchait pas.

Lorsqu’elle le vit se pencher vers elle, elle recula légèrement son visage du sien, jouant discrètement avec un trombone, l’écoutant avec attention. Et encore une fois, il réussit à la mettre encore plus mal à l’aise qu’elle ne l’était déjà. Parler de son rougissement, n’arrangeait en rien les choses, si bien qu’elle en détourna le regard.

Et puis, il était vraiment … étrange et particulier cet Haibane. Trouvant, une relation basée juste sur le faite d’assouvir un désir, la déstabilisa. Troublant, ce genre de relation ? Nazélie n’était pas du même avis que lui.

Nazélie fuyait son regard mal lorsqu’il fut question d’elle. Lui lançant un bref regard, elle haussa les épaules, ne préférant pas répondre à cette question. Elle ne préféra pas répondre à cette question, ça en devenait gênant. Lui, il pouvait bien faire ce qu’il voulait, mais Nazélie c’était promis que cela ne se reproduisait plus.
Enfin … elle essayait.

Alors qu’il répondait à sa question première, elle eut sourire timide et ressortit la boit de pansement, la posa devant lui.

- Merci mais le seul ennuie c’est que je n’ai que des pansements … Comment dire … Assez spécial.

Lui en sortant un, elle lui montra et rougit légèrement. Franchement, elle aurait très bien put en prendre d’autre. Mais c’était la première fois qu’une chose pareille lui arrivait. Soupirant légèrement, elle retira les deux bandes de protection du pansement et le posa sur l’une de ses plaies. Un deuxième sans suivit et elle appuya doucement dessous pour qu’il adhère bien. Ayant enfin finit son travail, elle jeta tout le nécessaire qu’elle avant utiliser avant de se redresser

- Voilà ! Je pense qu’il n’y aura aucuns problème. Enfin, si cela n’a pas tenu, il faudra en remettre une fois chez vous. Sinon, vous êtes sur de vouloir un animal ? Je veux dire, autre qu’un serpent, bien sur.

Si elle lui demandait a, c’est parce qu’il s’était très vite rétracté sur le chiot, en plus elle ne possédait aucun serpent. Autant dire rien qui ne puisse l’intéresser. Promenant son regard sur le plan, elle vit la seringue qu’elle avait laissée. Y retirant l’aiguille qui était resté trop longtemps à l’air libre, elle la jeta dans une boite en plastique et en sortit une autre.

- Vous voulez bien m’aider ?

Une chose est sur elle devait avoir un don pour le surprendre en partie. Car bien qu'un certain nombre de ces réactions fussent prévisibles un bon nombre demeurait en revanche beaucoup plus dur à prévoir. Lund regardait la jeune fille lui appliquer le pansement et il gardait un sourire et un silence impeccable. Après tout peut être qu'il n'aurait pas besoin de la surprendre. Qui sait? Elle lui demandait par la suite s’il voulait un animal autre qu'un Serpent. Drôle de question en effet. Il n'aimait pas les chats et le traitement que lui avait infligé le Chiot avait été des plus ... Radical on va dire... Non décidément cela ne lui plaisait pas.

Ma foi votre chiot ma quelque peut dévaloriser sur mon choix d'en prendre un pour être tout à fait honnête ! Mais je ne sais pas je me tâte. Je reste un peu ancré à mon idée de serpent. Mais J'y pense vous devez être la personne la mieu disposer à m'aider a ce propos. Vous pourriez me dire quel genre d'autorisation administrative et autre bizarrerie de papier il faut pour pouvoir possédé un tel spécimen dans un lieu particulier tel un appartement ? Je pense qu'en temps que Vétérinaire et approprierait d'un refuge animalier vous devez être la mieu calé.

Partir sur un sujet administratif, voila qui était des plus... Habile pour détourner la conversation. Au moins elle ne serait pas troubler et ne rougirait pas a chacun de ses mots et elle lui répondait autrement que par un simple haussement d'épaule lancer a la va vite pour clore la question. il l'aimait bien au fond malgré ses apparence fragile et il était un peu dans ce genre la d'un coté par le passé il avait connu des filles qui lui ressemblaient cela lui faciliterait peut être le contact qui sais ?

Vous aidez ? Bien sur violoniez, en quoi je peu me rendre utile ?

Alors qu'elle allait surement plus proposer de l'aider et allait lui décrire la tache il ne pu s'empêcher venir à penser des choses des plus magistrale et des plus respectueuse quelque peu pousser pour la situation. En effet cela aurait été charmant. Il se mit à l'imaginer en tenu de soirée et prête à aller danser. Un bal ? Mais pourquoi pas il y en avait justement un dans une immense demeure reconvertie en Muséum a un brillant auteur qui avait fait des livres sur la science animalière par rapport aux races de ce monde. Toute une superbe théorie sur l’espèce et leur évolution ce docteur de théorie en biologie avait été compléter par les écris d’une oreille pointue qui avait agrémenté la théorie de manière remarquable

* Invite-la !*

Vous avez entendu parler du Bal de la Demeure de Darwin-Fotzisy ?